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Déménager aux US, la question des meubles.

Aujourd’hui je vais vous parler mobilier et DIY ou aussi, comment j’ai repeint et refait mes meubles pour qu’ils soient plus classes ! Je vous avais déjà montré notre table mexicaine, souvenir d’Arizona, maintenant je vais vous expliquer où on a trouvé nos meubles et vous montrer un peu tout ce j’ai pu refaire depuis qu’on est aux U.S. 🙂
 
1) Ikea, la base de la base.
En partant aux U.S. nous avons liquidé notre appart’. Notre déménagement et notre dernière soirée ont été un peu aussi une vente aux enchère + “tu le veux ça ? Bah prend !”
Du coup en arrivant à Tucson il a fallu tout racheter. Et plus particulièrement les meubles. Comme beaucoup d’expat en arrivant nous avons donc racheté le necessaire chez Ikea, qui des étagères (pour les livres), qui un lit…
Les étagères ce sont des expedits (anciennement, maintenant ça a un autre nom). Sur le côté de la plus haute, même si ça ne se voit pas bien, j’ai rajouté des crochets pour pendre mes écharpes et ma veste de sport. Je crois que c’est le seul endroit potable dans cet appart’ tarabiscoté où l’on pouvait mettre ces étagères. La lampe vient de chez Target. Vous pouvez constater l’amoncellement de livres, il y a trois couches et je commence à en mettre un peu au dessus. Les photos au dessus c’est Monument Valley et une repro d’ancienne photo de saloon de Tombstone. Il y a aussi plein de petits bazards divers comme de la pouzzolane d’Auvergne et autres choses colléctées à droite à gauche lors de nos escapades. Faudra surement retourner chez Ikea si je veux me faire expédier le reste de mes bouquins et mes BD (en pension chez mes parents). Pour le matelas, nous avons acheté un futon, assez dur par rapport aux matelas des U.S. (en France nous avions un lit japonnais, du coup on a tenté de trouver la même chose ici) Continue reading “Déménager aux US, la question des meubles.”
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Ma vie (6) Vers une nouvelle vie ?

J’interromps mon récit de vacances pour un article un peu différent. Comme vous avez pu le comprendre entre les lignes de mes artciles, le Grand a eu une super offre d’emploi récement, au Joint Genome Institute, à Walnut Creek, en Californie. (à une demie-heure de San Francisco).Au début, j’avoue je ne l’ai pas pris sérieusement, c’était une interview parmi tant d’autres et une possibilité parmi d’autres. Je savais que ce changement allait venir, que le post-doc allait s’arrêter. Quant à savoir où nous allions aller, c’était une bonne question… La proposition d’emploi est très alléchante, mais de base, la Californie ne me fait pas rêver pour y vivre, j’avais apprécié pendant les vacances, mais vivre là bas ne m’attirait pas franchement.

D’une part, j’ai l’impression que tout le monde veut y aller, et, c’est mon esprit de contradiction qui parle, si tout le monde veut aller quelque part, moi je veux aller ailleurs.
D’autre part les loyers sont excessifs et j’ai l’impression qu’on va balancer de l’argent inutilement par les fenêtres.
Nous y sommes allés pour avoir une première impression, je vous l’ai déjà raconté. Nous n’avions aucune idée du salaire et du reste, où vivre … bref ! Et puis … on a attéri sur la baie, l’effet waou était impressionant. Puis on a prit le bart à 22:00. Vu ce que j’avais lu (des trucs vraiment horribles !), je m’en faisais une montagne, j’avais très mal dormi la veille rien qu’à cette idée … et puis finalement, ça vaut le métro Parisien … ni vraiment pire, ni vraiment mieux.

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20th in America : les nouvelles habitudes américaines.

 
Cet article participe au défi blog initié par les blogs French Fries and Apple Pie et From Side 2 SideLe thème de ce mois ci  était Ces choses que vous n’aviez jamais faites avant d’être aux USA”S’expatrier c’est changer ses habitudes ou en découvrir de nouvelles, ou les deux. En tout cas c’est vivre différemment. Au moment ou dans nos vies on prend cette descision pas toujours facile, on ne se rend pas forcément compte de ce que cela va impliquer dans nos vies quotidiennes, jusqu’aux petites choses qu’on avait pas forcément prévues. Je vais donc vous faire une liste succincte des choses que je sais qui ont changées.

 


Avoir une voiture et ses conséquences

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Être dépendant d’un autre visa.

Être dépendant d’un autre visa c’est pas toujours simple. Surtout pour moi qui aime être libre. J’ai toujours bossé et eu la sensation d’être libre de faire ce que je voulais. Quand on déménage à l’étranger c’est pas simple de voir sa liberté et son indépendance s’envoler. Ce n’est que mon avis et mon ressenti, je ne veux pas juger ou dire ce qui est bien ou mal.
Déjà pour nous il a été question de se marier, c’était pas tellement prévu dans nos plans et perso le mariage c’est pas tellement mon truc. Du coup, on a tout fait pour que ça ne ressemble pas à un mariage. Je n’ai pas non plus changé de nom (c’était hors de question, je vois pas pourquoi je changerai moi et pas mon mari !) même si il n’est pas facile à épéler et que même en France, pas mal de gens se plantent. Et puis, je n’aime la façon qu’ont certaines personnes de t’appeler par le nom de ton mari, Mme Roger Martin… put*in de m*rde ! Je m’appelle pas Roger !! Je n’aime pas cette idée que le mariage éfface l’état civil d’une femme, son nom, du coup le mariage c’est pas mon truc. Je ne l’ai pas fait de gaité de coeur, à la mairie, en 5 minutes ! C’était fait, comme on enlève un sparadra ! Et c’est sans regret, j’ai pas de photos de mariage à mettre dans mon salon, mais franchement je ne vois pas l’interêt !

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Changer d’orientation professionnelle en expatriation.

Un article aujoud’hui sur mon expérience de ré-orientation pro en expatriation. Je vais essayer de faire court et objectif.
J’ai eu de nombreux projets professionnels au long de ma (courte) vie, j’ai voulu être vétérinaire (comme tous les gosses !), puis pilote (et après j’ai eu des lunettes …), designer, costumière de théatre, puis historienne (je le suis toujours un peu, mais j’écris très mal !)… bref toutes ces envies qui ne se sont pas vraiment réalisées ! N’y voyez aucun regret de ma part, on peut toujours s’imaginer comment on aurait voulu vivre sa vie, mais de mon côté il n’y a rien que je regrettte (enfin si, y’a des trucs, mais pas ça.)
Mon parcours pro avant expatriation.
Durant mes années universitaires, j’ai suivi mon cursus sans trop me poser de questions, je n’ai pas eu à bosser durant mes années de licence grâce au soutient financier de mes parents et de mes grands parents (merci à eux !!). Lorsque j’ai repiqué ma première année d’Histoire, je ne me suis pas posé de question, quand j’ai eu ma licence, pas trop non plus, je voulais  faire un master…

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Rally with Bernie

Il y plusieurs semaines, le 13 mars pour être exacte, nous sommes allés à un meeting politique. Cela faisait un moment que je n’avais pas trainé ma carcasse devant un politicien, mais pour moi celui là vaut le coup d’oeil et d’oreille ! Avec le grand, même si nous ne pouvons voter, nous suivons de près les éléctions, ça va quand même impacter notre avenir qu’on le veuille ou non !
Ceux qui sont amis sur FB avec sont déjà plus ou moins au courant de ma pensée politique, visible au travers de mes postes et je ne vais pas m’étaler la dessus, mais pourtant ça me manque, les soirées avec les copains un bouteille de vin et parler de politique ! J’ai pas fait Histoire pour rien, j’aime beaucoup la politique, ça me fascine, même si je n’ai jamais eu envie d’en faire.
Du coup, la politique me manque, ne pas tellement pouvoir s’investir parce qu’on a aucune légitimité, et s’investir dans la politique avec notre député des français de l’étranger, merci bien mais j’execre notre député actuel !

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